Pourquoi s’intéresser aux facteurs et enjeux de la santé dans le bâtiment et l’aménagement ? Aujourd’hui,

La pollution de l’air est le principal risque environnemental pour la santé, avec environ 300 000 décès par an au sein de l’Union Européenne

La pollution par les particules fines est à l’origine chaque année, en France continentale, d’au moins 48 000 décès prématurés par an soit 9 % de la mortalité en France
86 % des français se déclarent gênés par le bruit à leur domicile, et 2/3 citent le bruit à leur domicile comme première source de nuisance, générant effets sur la santé auditifs (surdité, acouphènes…) et extra-auditifs (pathologies cardiovasculaires, perturbation du sommeil, etc.)

La pandémie de Covid-19 a bien évidemment mis en exergue les facteurs de résilience ou d’aggravation des impacts de ce type d’évènement majeur dans le bâtiment et l’aménagement

Enfin, les effets du réchauffement climatique, ont des répercussions sanitaires majeures qui se traduisent par la nécessité de nouvelles prises en considération dans la conception du cadre bâti

L’OMS définit la prévention de la santé comme l’ensemble des “mesures applicables à une maladie ou groupe de maladies pour en bloquer les causes avant qu’elles n’agissent sur l’homme ; en d’autres termes, pour empêcher la survenue de la maladie.”
Quels liens concrets peut-on alors établir entre le bâtiment, sa conception environnementale, et la santé ?
S’il nous apparait évident aujourd’hui que le cadre de vie joue un rôle prépondérant dans le maintien de la santé physique et du bien-être par bien des aspects, cela n’était pas le cas il y a moins de deux siècles. Il est à noter qu’au niveau mondial, la santé est aujourd’hui un élément indissociable du concept de développement durable. Mais ceci procède d’évolutions et de prises de conscience successives.

Enjeux et leviers d’actions : explorons les liens étroits entre santé et bâtiment.

Le bâtiment, un enjeu de santé publique progressivement reconnu dans l’histoire récente

Les préoccupations de santé publique liées au bâtiment sont de plus en plus fortes, et la notion-même de “santé” n’a de cesse d’évoluer. Aujourd’hui, 75 % de la population française vit en zone urbanisée, et les pathologies attribuables à l’environnement urbain augmentent, touchant davantage certaines populations en raison de leur situation sociale et environnementale. Voyons au travers de quelques jalons historiques comment la notion de santé imputable au cadre de vie a évolué.

La notion d’insalubrité est définie juridiquement. Une loi de 1902 définit la notion de “santé publique” pour la première fois, et introduit la question sociale dans le champ de la santé. L’amélioration de l’assainissement des villes et la lutte contre l’insalubrité des logements ont permis d’obtenir des gains notables en termes de santé publique.

L’Organisation Mondiale de la Santé propose une définition élargie de la santé : “la santé est un état complet de bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité”.

le ministre de la santé canadien présente le rapport Nouvelles perspectives de la santé des canadiens, dans lequel sont abordés pour la première fois les déterminants sociaux de la santé, que reprendra l’OMS. L’aménagement du territoire fait partie de ces déterminants, et peut être un levier puissant sur les autres.

fin des années

L’OMS lance le “Réseaux Villes-Santé”. Le concept d’urbanisme favorable à la santé est alors présenté suivant sept leviers d’action :

  • Réduire les polluants, nuisances et autres agents délétères ;
  • Mettre en avant les comportements de vie sains pour les individus ;
  • Contribuer au changement de cadre de vie ;
  • Identifier et réduire les inégalités de santé ;
  • Repérer et gérer les conflits et synergies entre différentes politiques publiques (environnement, urbanisme, santé…) ;
  • Mettre en place des stratégies favorisant la collaboration intersectorielle et l’implication de tous ;
  • Penser « adaptabilité » pour faire évoluer les projets en fonction des évolutions comportementales

La Fondation Abbé Pierre lance sa campagne de sensibilisation “Quand on est malade, on reste à la maison, mais quand c’est le logement qui rend malade ? “. Elle attire l’attention sur les dégâts du mal-logement en matière de santé. La santé dans le logement – social ou non – (re)devient un enjeu global, et ce y compris dans les environnements de travail. Les démarches autour de la Qualité de Vie au travail se développent, ses préoccupations se situant à la croisée da la santé des travailleurs et de ses impacts financiers en termes notamment d’absentéisme, de productivité et de rétention des talents.

L’OMS publie le Rapport de la Commission des déterminants sociaux de la santé, lequel recommande notamment d’améliorer les conditions de vie quotidienne, par l’accès à un logement de qualité.

L’EHESP (Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique) publie le guide “Agir pour un urbanisme favorable à la santé”, comme première réponse adressée aux Agences Régionales de la Santé. L’objectif est d’aider les ARS à analyser les impacts du logement sur la santé et d’émettre des avis sanitaires.

Aujourd’hui, le CSTB ainsi que les organismes « satellites » que sont l’Association HQE, les organismes certificateurs Certivéa et Cerqual, et leurs homologues étrangers, se penchent sur ces enjeux de manière plus soutenue. On observe l’émergence de Labels de Qualité de Vie au Travail tels que WELL et OsmoZ, et la prise en compte de plus en plus exigeante de la Qualité de l’Air Intérieur ou de l’Eau au travers des référentiels de certification de la qualité environnementale.

Santé dans le logement : facteurs intrinsèques et extrinsèques

Une personne passe en moyenne 60 % de son temps au sein de son domicile, en moyenne 80 % dans des espaces clos, et inspire 15 000 litres d’air chaque jour. On recense 4 millions d’asthmatiques en France, et le coût de la mauvaise qualité de l’air serait à lui seul estimé à 19 milliards d’euros, en prenant en compte 6 polluants de l’air intérieur (benzène, trichloroéthylène, monoxyde de carbone, radon, particules, fumée de tabac). Une alimentation saine et une bonne qualité de l’air permettraient de réduire de 25 % à 75 % la morbidité cardiovasculaire.

Ces quelques chiffres révèlent l’importance de l’enjeu sanitaire lié au logement. Au final, on peut recenser des facteurs intrinsèques et des facteurs extrinsèques au logement qui agissent sur la Santé, ne serait-ce que sur les thématiques les plus évidentes.

Facteurs intrinsèques

On recense de manière « classique » les facteurs suivants que nous appellerons “intrinsèques” de santé au sein du logement (ils sont directement liés aux caractéristiques physiques de la cellule de logement) :

Qualité de l’air ;
Qualité de l’eau ;
Ambiance visuelle et confort lumineux ;
Ambiance et confort acoustique ;
Ambiance et confort hygrothermique ;
Ondes électromagnétiques ;

Des facteurs intrinsèques nouveaux intègrent également le champ des préoccupations, tels que les 14 Principes de la Biophilie.

On peut en complément, lister des enjeux de sécurité qui peuvent être considérés comme des déterminants de la santé, entre autres :

Sécurité des installations électriques et de gaz ; Monoxyde de carbone ;
Sécurité incendie ;
Plomb, légionelle, amiante ;
Accidents de la vie courante au sein du domicile.

Facteurs extrinsèques

Des facteurs extrinsèques (liés au bâtiment ou à son environnement) sont également à l’œuvre, à plusieurs échelles. Ils relèvent à la fois de la santé, du bien-être, et du cadre de vie :

• Programmation, usages et services au sein du bâtiment / de la résidence, et du quartier :

Locaux et espaces d’usages partagés aux fonctions potentiellement variées (agriculture urbaine, jardinage, salles communes d’activité, antennes locales multi-services, espaces de type tiers-lieux et de télétravail, etc.)

Aides à la personne, Services à domicile (y compris par des prestataires de santé à domicile (PSAD)) ou au sein d’une résidence.

Matériels et services de mobilité (locaux vélos, flottes de vélos partagés, etc.)

• Caractéristiques et localisation du bâtiment et de son environnement proche :

Pollution des sols ;
Nuisances acoustiques liées à des activités ou des infrastructures proches ;
Risques sanitaires (présence de ligne à haute tension, pollution de l’air extérieur, installations classées, etc.…) ;
Aménités naturelles et urbaines (commerces, services, espaces verts, équipements sportifs…)
Desserte ;
Et bien d’autres…

On peut ainsi étendre les leviers extrinsèques à l’aménagement et au cadre de vie ainsi qu’aux activités au sein d’une résidence et dans les espaces communs et publics, par exemple :

  • Education et conseils individuels ou collectifs sur la santé physique ;
  • Ateliers de cuisine saine, diététique, à base de produits bios (locaux et de saison par ailleurs) ;
  • Ateliers de confection de produits ménagers biologiques non nocifs faits maison ;
  • Mise à disposition d’équipements multi-exercices sportifs extérieurs tout-temps pour adultes, de tables de ping-pong en dur, etc. ;
  • Mise à disposition de jeux extérieurs pour enfants et adolescents de manière à les inciter aux activités extérieures ;
  • Aménagements paysagers, bancs et mobilier en bois favorisant les rencontres et le lien social ;
  • Cours de yoga, méditation, tai-chi, aérobic et cardio, renforcement musculaire, fitness ;
  • Groupes de course à pied, marche ou vélo.

Evolutivité des logements : accompagner les évolutions sociétales et le vieillissement

L’adaptation des logements au vieillissement de la population et aux évolutions démographiques est également en partie un enjeu de santé public, et plus largement de bien-être des populations. Enfants qui quittent le foyer, adulte qui retourne au foyer parental pour une durée indéterminée, familles mono parentales, télétravail, sous-location, personnes âgées qui souhaitent quitter leur logement, devenu trop cher ou trop grand… les situations où l’évolutivité des logements constitue une attente forte sont nombreuses et variées. L’accès à un logement adapté aux besoins de leurs occupants a un impact tangible sur leur santé et leur bien-être.

L’évolutivité doit aussi concerner l’anticipation du vieillissement de la population. En 2050, si les tendances démographiques se confirment, la population française comptera 70 millions d’habitants : 1 habitant sur 3 sera âgé de 60 ans et plus, soit une hausse de 80 % en 45 ans.

Il existe ainsi de nombreux leviers d’évolutivité et de résilience des logements permettant de faire face au vieillissement : dès leur conception, les sols, les cloisons et l’installation électrique peuvent accueillir des équipements adaptés au vieillissement. Chemin lumineux balisant des couloirs, barres d’appui fixées sur des murs renforcés, motorisation de la porte d’entrée et des volets roulants, second visiophone dans la chambre, prises en position hautes : autant d’éléments permettant d’anticiper l’équipement du logement à moindre coût.

Les labels et les certifications, une offre certes incomplète mais évolutive

Depuis le début des années 1990, le champ et le rôle des certifications et labels environnementaux se renforcent et se diversifient, avec aujourd’hui une offre complète, voire profuse, appelant des arbitrages et des analyses ad hoc, ces outils permettant de contribuer finement à la stratégie d’un projet, à l’anticipation des attentes règlementaires et du marché, et à la valorisation des pratiques des maîtres d’ouvrages.

Les champs traditionnels de l’environnement appliqué au bâtiment, des thématiques spécifiques dont certaines nouvelles (carbone, qualité d’usage, biodiversité…), des expérimentations préalables aux nouvelles réglementations, accompagnent et préfigurent les évolutions du marché et des attentions sociétales associées à la construction durable.

La santé et le bien-être des utilisateurs deviennent des problématiques de plus en plus couvertes par ces outils, soit en tant que thèmes dédiés au sein de démarches environnementales multicritères (comme dans la HQE) soit au travers de démarches dédiées :

En tout état de cause, ces certifications et labels sont de plus en plus tournés vers les conditions d’usage, de santé et de confort des utilisateurs, et apportent ainsi un certain nombre de réponses, parcellaires mais pertinentes, notamment sur la Qualité de l’Air Intérieur, le confort acoustique et hygrothermique, visuel et lumineux, la biophilie …

Zoom sur la QAI, Qualité de l’Air Intérieur (QAI) : les labels et certifications, des outils nécessaires mais non suffisants ?

L‘épidémie de Covid-19 est apparue dans un contexte où la QAI retenait déjà de plus en plus l’attention des acteurs et des pouvoir publics. Elle a mis en exergue et en perspective la nécessité de mettre en œuvre des stratégies et des gestes simples pour ventiler les lieux occupés, renouveler voire filtrer l’air à l’intérieur des bâtiments.

Dans ce contexte, une major de la promotion d’immobilier d’entreprise a confié à TERAO une étude approfondie sur les pratiques et les engagements que pouvaient prendre les porteurs de projets, afin d’apporter davantage de garanties face au Covid aux investisseurs et aux utilisateurs. Il ressort de cette étude, en synthèse, que le volet QAI de certifications telles que HQE, BREEAM, WELL ou OsmoZ, imposent des exigences qui contribuent activement à améliorer la QAI ; néanmoins, ces exigences qu’il peut paraître nécessaire mais non suffisant d’appliquer peuvent être complétées par les démarches suivantes :

  • Simulation CFD (Computational Fluid Dynamics, étude du comportement des flux d’air dans le bâtiment) pour concevoir les stratégies et systèmes CVC de manière à disposer de manière opportune les entrées et reprises d’air, en cohérence avec les modalités d’occupation de l’espace, de manière à minimiser l’exposition des utilisateurs à des flux d’air vicié
  • Augmentation des niveaux de filtration de l’air neuf, les filtres standard n’étant pas suffisants
  • Commissionnement des systèmes CVC, offrant de fortes garanties supplémentaires de bonne mise en œuvre, de bon fonctionnement et de performance, ainsi que de bonne maintenabilité, de ces systèmes : parfois, changer un filtre s’avère impossible, car cette action n’est pas prévue dans le cahier des charges de conception…

Par ailleurs, il est à noter l’apparition récente de démarches dédiées à la QAI, qui reprennent certains de ces principes, telles que le label IntAIRieur d’Immo-Lab ou la démarche Ecrains de l’ADEME.

Ces labels sont de plus en plus prisés des acteurs, et souvent exigés dans les cahiers des charges de consultations. Ils apportent de fait, des garanties de prise en compte rigoureuse des préoccupations liées à la QAI dans la conception des bâtiments.

Il existe ainsi de nombreux liens fondamentaux entre conception environnementale, confort de l’occupant et santé. Cela est d’autant plus vrai que le changement climatique constitue aussi un enjeu majeur de santé publique, et peut notamment être appréhendé au travers de la lutte contre le phénomène d’Ilot de Chaleur Urbain (ICU). Il s’agit d’un facteur majeur de résilience des bâtiments.

Agir à l’échelle de l’aménagement

C’est évidemment à l’échelle de l’aménagement urbain que les facteurs sont les plus nombreux et les plus puissants en faveur de la santé, puisqu’ils permettent d’activer de nombreux leviers, ceux liés à la qualité des bâtiments, et bien d’autres.

Les déterminants de santé sur lesquels les choix d’aménagement sont susceptibles d’agir sont en effet nombreux :

Source : Guide ISADORA, 2020

La diversité de ces leviers implique d’emblée la nécessité d’une approche pluridisciplinaire afin d’impliquer les nombreuses parties prenantes concernées, et d’articuler des réponses opérationnelles sur des aspects complémentaires dans un projet urbain ou d’aménagement.

Ainsi se développe la notion d’”Urbanisme favorable à la santé”, à travers laquelle la programmation et la conception urbains tâchent dans un premier temps d’activer les leviers directs qui existant à cette échelle (lutte contre l’ilot de chaleur urbain et résilience au changement climatique, accès à la nature et à des activités physiques variées, accès aux services de santé et adaptation du cadre bâti aux besoins des utilisateurs, etc.).

Ainsi la programmation et la conception des bâtiments et des espaces publics, les modes de de vie, de déplacement, l’accès aux services… concourent à la santé des habitants, mais mobilisent pour être appréhendés de manière efficace, des expertises et des parties prenantes, y compris institutionnelles, très diverses, et l’articulation de nombreux dispositifs publics et dispositions privées …

Se pose alors la question de la constitution d’une vision globale du sujet et de ses traductions et de son suivi opérationnel !

Le « Guide ISadOrA : une démarche d’accompagnement à l’intégration de la Santé dans les Opérations d’Aménagement urbain » (mars 2020), élaboré sous la direction de l’EHESP et de l’a-urba, avec le soutien de l’ADEME, la DGALN, la DGS, et en collaboration avec la FNAU, vise à aider maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre des projets urbains dans la prise en compte des enjeux de santé publique et d’environnement afin que les acteurs de l’aménagement soient, aussi, des acteurs de la santé publique.

Fruit d’une collaboration entre des chercheurs, des professionnels de l’aménagement, de l’environnement et de la santé publique, le guide ISadOrA constitue un outil inédit à destination des professionnels engagés dans l’aménagement opérationnel.

Fondé sur une approche systémique de la santé et de l’environnement, ce guide est structuré autour de 15 clefs opérationnelles :

3 clefs concernant le processus d’élaboration d’une opération : (gouvernance, diagnostics, démarches participatives)

12 clefs thématiques portant sur les choix d’aménagement (mobilités actives, cohésion sociale, agriculture urbaine, espaces publics, etc.) et intégrant plusieurs déterminants de santé (environnementaux, socio-économiques et individuels)

Ces clefs de conception sont les suivantes :

sante batiments

Le constat est évident quant à la transversalité de ces clefs de conception avec les enjeux récurrents et transversaux du développement durable, à l’interface entre programmation, gestion des sols, bâtiments, espaces extérieurs, et services urbains.

Les rôles d’un AMO Développement Durable et Santé comme TERAO

Au travers des démarches traditionnelles de conception de la performance environnementale et du confort des usagers (STD confort, Plans de QAI, etc.), et de démarches thématiques plus récemment structurées (WELL, OsmoZ, IntAIRieur, Ecrains…), le rôle des bureaux d’études tels que TERAO est devenu relativement central aux côtés des équipes de MOA et de MOE, pour intégrer les enjeux liés à la santé dans les bâtiments.

En ce qui concerne les projets urbains, le périmètre et les rôles de chacun sont moins évidents. Nos équipes observent néanmoins dans la période récente, une forte propension de la part des aménageurs à être très réceptifs quant à la prise en compte explicite de la Santé parmi les priorités de leurs Stratégies d’aménagement durable.

A ce titre, la posture de TERAO est d’agir comme un ensemblier d’expertises et un animateur transverse des réflexions et des démarches : un bureau d’études tel que TERAO est en capacité d’identifier un certain nombre d’enjeux et de solutions très contextualisés, mais pour être complète, la démarche nécessite d’autres contributions. Par notre positionnement qui induit par nature une « vision à 360° » des enjeux des opérations urbaines, nous apportons aux équipes projets une capacité de sensibilisation et de vision systémique des thèmes environnement et santé, identifions les parties prenantes, et animons l’élaboration d’une démarche intégrée et pluridisciplinaire, qui une fois n’est pas coutume, donne à la collaboration et à l’intelligence collective le statut de premier facteur de réussite pour la prise en charge du sujet majeur qu’est la santé dans le cadre de vie bâti !

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Notre conseil : consultez-nous dès l’amont du point de vue technique (faisabilité) et pour disposer d’éléments d’aide à la décision (benchmark et positionnement Projet / opportunité).

Directeur du Développement France
Expert des enjeux de développement durable des projets immobiliers

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